Les chinoiseries » au XVIIIe siècle évoquées grâce à quelques estampes exposées.

  • octobre 14, 2024
Les chinoiseries » au XVIIIe siècle évoquées grâce à quelques estampes exposées
Visite "privilège" les lundis 14 & 21 octobre 2024
par Myriam FEVRE

Myriam Fevre responsable du cabinet d’arts graphiques au musée de Dijon, nous a présenté trois estampes, « le jardinier chinois » de François Boucher d’après Antoine Watteau, « une jeune femme jouant avec un chat » de Martin Engelbrecht d’après François Boucher et « le mois de février » de Pierre-Charles Canot d’après Jean Pillement. Toutes ces estampes sont inspirées des documents et des objets importées d’Orient, à l’inverse nous a été présenté un très beau cabinet de Vizagapatam (Inde) en bois de Santal plaqué d’ivoire gravé et pigment noir, qui lui, a été adapté aux demandes européennes.

KOUANE TSAÏ ou Jardinier chinois. 1731 Eau-forte François Boucher d'après Antoine Watteau
Jeune femme jouant avec un chat. Deuxième quart du XVIIIe siècle. Eau-forte et burin. Martin Engelbrecht d'après François Boucher.
Le mois de février. 1759 Eau-forte Pierre-Charles Canot d'après Jean Pillement